Depuis un an, Marcel n’a plus le temps d’aller prendre une bißere ßa la taverne. En fait, il est Ôepicier ßa plein temps et, ßa bien y penser, il vient de vivre la pire annÔee de toute sa vie. Marcel parviendra-il ßa s’en sortir ? Il le faut pourtant, c’est le bien-Òetre de toute sa famille qui en dÔepend. La vie file et Marcel vient de prendre conscience qu’il ne la voit pas passer. Bernadette, elle, n’a pas envie de voir partir Adrien. Pourtant, depuis l’automne dernier, ses paroles proclament le contraire. Elle se fait l’avocat du diable en rÔepÔetant que Maureen a le droit de connaÒitre sa fille, d’autant plus que la lointaine mßere commence ßa manifester un intÔerÒet pour l’enfant. Cependant, comme le dit si bien ÔEvangÔeline : s’il fallait qu’ils ne reviennent jamais… En plus, depuis quelques mois dÔejßa, son fils Antoine s’est mis en tÒete d’aller passer l’ÔetÔe ßa New-York pour tenter d’intÔeresser quelques propriÔetaires de galeries afin qu’ils exposent ses toiles. En attendant, Bernadette s’inquißete aussi pour Laura qui, de son cÒotÔe, n’a toujours pas annoncÔe ßa son pßere qu’elle retourne ßa l’universitÔe. Avec l’humeur de Marcel qui s’assombrit de jour en jour, Bernadette ne voit pas comment Laura va s’y prendre. La jeune fille semble par ailleurs trßes prÔeoccupÔee par le nouvel ami un peu louche de Francine. Voici le septißeme tome de la trßes belle sÔerie MÔemoires d’un quartier, Marcel, oßu le pßere de la famille Lacaille apprendra ßa dÔecouvrir le vÔeritable visage de tous ceux qui l’entourent.