Ce dernier reƯcoit un coup de tÔelÔephone de la part d'un inconnu voulant lui rendre son carnet d'adresse et tous deux conviennent d'un rendez-vous. Mais cet homme et les personnes qui l'accompagnent provoquent chez le narrateur un sentiment d'inquiÔetude, semblable ßa celui qu'il a pu Ôeprouver enfant. Commence alors une enquÒete dans laquelle passÔe et prÔesent se confondent. On retrouve dans Pour que tu ne perdes pas dans le quartier cet art de la mÔemoire si cher ßa Modiano, et qui fait ressurgir avec ÔelÔegance des destins insaisissables dans un Paris hantÔe par l'occupation.