Olivier BÔecaille est mort un matin, aprßes trois jours de maladie. Le mÔedecin est formel, et l'enterrement doit avoir lieu quelques jours plus tard. Mais, en rÔealitÔe, BÔecaille est bien vivant. TerrassÔe par une crise de catalepsie, prisonnier de son propre corps mais conscient de tout ce qui l'entoure, il assiste, impuissant, au chagrin de sa femme, aux prÔeparatifs de sa mise en bißere et ßa l'intervention d'un voisin un peu trop charmant...Dans ce conte macabre teintÔe de nostalgie, Zola nous livre une rÔeflexion douce-amßere sur la mort et ses consÔequences parfois inattendues.